Dans l’enclos, on note la présence de deux croix. L’une dite « mérovingienne », daterait du Moyen-Âge ou Haut Moyen-Âge. La deuxième, dont il ne restait que les vestiges (le soubassement, le socle et le fût), a retrouvé une croix en septembre 2019, grâce au partenariat avec le lycée Jean Monnet, de Quintin (qui restaure également le muret d’enceinte) : article Ouest-France, la croix posée sur le calvaire. Le chapiteau sommant le fût porte une inscription : le calvaire serait daté de 1599 ou 1603 (la date est incertaine), et aurait été érigé par un des seigneurs de Lescanic. Il a la particularité d’être construit en deux matériaux différents : le soubassement et le socle (ainsi que la croix) sont en granite, et le fût en kersantite, matériau inexistant dans les proches environs de la paroisse.
On notera également les ressemblances évidentes entre cette chapelle et celle de La Trinité en Canihuel (à trois kilomètres à vol d’oiseau).